• Je te déteste et je t'aime en même temps. 

    Tu m'énerves mais j'ai envie d'être avec toi.

    Je ne te comprends pas, pourtant j'ai l'impression que si.

    Y'a toujours un truc qui va pas, mais je ne sais pas quoi.

     

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  •       Je me cachais. Quelques minutes plus tôt, j'avais entendu des gens qui parlaient de moi. Ils voulaient me tuer pour une raison qui m'étais encore inconnue. Je vis Eduardo, le chef de leurs bande qui venait vers moi. Je pris un couteau qui était par-terre et je m'enfuis de l'autre côté du tunnel.  J'entendis du bruit derrière la porte par où je voulais sortir. J'ouvris la porte et brandis mon couteau sans réfléchir sur le premier élus qui ce trouvait devant moi. Heureusement il s'écarta. Mon couteau avait laissé une légère écorchure sur la peau d'un garçon qui lui, ne me voulait aucun mal. Quand je le vis, j'étais tellement soulagé ! Mais je m'excusa pour la blessure. Je n'arrivais pas à croire que c'était lui. J'étais tellement heureuse. A ce moment là, je le pris dans mes bras. Il réagis super bien. Puis, il m'embrassa. Dans mon esprit j'étais tellement... Nan, c'est impossible à décrire tellement que c'était magique. Mais on devait partir.

             Eduardo me rattrapait. Lui, ce garçon dont je ne citerai point le prénom, me pris par la main et me confia qu'il allait m'aider, me protéger. On courra pour leurs échapper. Mais tout cela n'avait pas l'air réel. Je prenais conscience que ce n'étais pas possible. Comment un garçon comme lui aurait pu s’intéresser à une fille comme moi ? Tempi. Je fis taire mon esprit. Il y avait comme une sorte d'alchimie entre nous deux.  Je ne voulais plus le quitter. Il ne voulait plus me quitter. On était inséparable. Le soir arriva, il s'approcha de moi. Il me regarda dans les yeux un cour instant puis me pris dans ses bras. Il commença à m'embrasser.

           Je me réveilla. C'était bien un rêve. Un magnifique rêve. Un peu étrange quand même....

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  •         Dans la vie, il y a une multitude de catégories de personnes.  Mais je vais faire cour en vous parlant juste de trois. Il y a celles qui se prennent la tête pour un rien, celles qui sont "normales" (oui je met normales entre guillemets, et je vous expliquerais après pourquoi cela) et il y a les gens qui s'en foutent de tout, rien ne les atteint. Du moins, c'est ce qu'ils veulent faire paraître.

    Premièrement, parlons des gens qui se prennent la tête pour un rien. Ils veulent toujours avoir raison, se sentir supérieur ou alors défendent juste leurs causes. Ils ne laissent pas de place aux gens qui veulent juste être eux même, tous le monde doit faire comme eux ils veulent sinon ça va pas.

    Les gens "normaux" sont les gens qui eux se qualifient comme tel. Moi j’appelle ça des moutons. Car les gens normaux veulent être comme tous le monde et oublient pratiquement leur personnalité. Ne me jugez pas, c'est mon point de vue. Mais toutes personnes se qualifiant de normal trouve les gens différents voir bizarre.

    Et maintenant passons aux gens qui prennent tout à la légère, ils s'en foutent de tout etc. Mais est-ce vrai ? Quelqu'un qui est comme ça à peux être plus souffert que les autres mais le cache derrière sa personnalité pour paraître plus fort(e).

    Mais il ne faut pas croire que chaque être humain se range forcément dans l'une des trois catégories, il y en a pleins d'autres. Mais de toute manière, personne n'est pareil.. ainsi chaque être humain ne peux pas se ranger dans une catégorie même s'il le prétend.

    C'est pourquoi il est indispensable de prendre la peine de connaître une personne avant de la juger. Les apparences sont trompeuse ;) Bon ok, il y a quelques exceptions mais bon vous m'avez comprise.

     

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  • Si je te disais que tu peux tout recommencer ? Là, maintenant. Tu lâches tous. Tu repars à zéro. Tu oublies tous, tu fais le vide dans ton esprit.

    Tu crois que c'est possible ?

    Que tu en es capable ?

    Que tu peux le faire ?

    Que tu veuille le faire surtout ?

    Réfléchis bien. Longtemps si il le faut.

    Essaye de tout recommencer, changer tes activités.

    Il te faut de la nouveautés.

    Corrige tes défauts. 

    Éloigne toi des gens qui te fond mal.

    Changes toi les idées.

    Libères toi de ce que tu ressens.

    Dis leurs. Cris au et fort ce que tu penses à tous ces gens.

    Ces gens qui te font du mal.

    Il ne faut pas avancer comme cela.

    Faut que tu regrettes ta vie.

    C'est pas normal d'être malheureux.

    Tu as le pouvoir sur ton destin.

    A toi de choisir, tu veux être passif et laisser faire ?

    Ou bien être actif et te battre ? 

     

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  •          Des fois dans la rue on croise des personnes que l'on trouve beaucoup plus belles que nous. C'est pire si, de base, on ne s'aime pas. On essaye peux être de ne pas la recroiser pour ne pas perdre confiance en soi. Tout de suite on se sent rabaissé.. on n'a pas envie que les gens nous critiquent par rapport à cette personne. Mais c'est déjà trop tard.. on devient jaloux et on perd confiance en soi. On se remet en question et se demande pourquoi on n'est pas comme elle. Pourquoi est-on comme cela. On trouve ça injuste. On remet d'abord la faute sur ses parents car c'est a cause d'eux qu'on est comme ça. Qu'est ce qu'ils y peuvent ? De toute manière pour eux, tu es la plus belle fille, ou le plus beau garçon qu'ils puissent voir.

             Mais au final.. ça sert à rien d'être jaloux. Pourquoi voudrais tu lui ressembler ? Serte les gens comme ça ont beaucoup d'amis, auront surement beaucoup de petit copain etc. Mais quand tu vois que quand t'es populaire, il y a plein de faux-culs... ça donne pas si envie que ça d'être populaire hein ? Et pour les petits copains (ou petite copine) Si ça se trouve, la fille en question, elle joue avec les mec ou alors elle à peux être un mauvais fond.. Ou alors elle est parfaite mais.. être parfait c'est impossible, elle aura surement plein de défaut horrible hihi. (On se rassure comme on peux hein :3)

             Sérieusement, être jaloux ça n'apporte rien. On perd notre confiance en soi, on devient triste, on se fait du mal pour rien. De toute manière tu n'as aucun moyen de te transformer en cette meuf ou ce mec qui te fait tant rêver haha. Sauf la chirurgie esthétique mais bon.. Autant se trouver une belle coupe de cheveux, de beaux habits, (un maquillage qui nous plait si on est une fille ^^), prendre soin de nous, et là on ira déjà mieux et on se trouvera déjà plus jolie.

             Une dernière chose, les gens jugent souvent sur le physique.. donc prends bien soin de toi car c'est la première impression qui compte. Elle te collera longtemps si la personne n'apprends pas à te connaître par la suite. Et des fois elle pourrait bien te la ressortir quelques fois comme par exemple, "ha tu te rappelles la première fois que je t'es vu ? Mdr tu ressemblez à rien avec ta capuche sur la tête, ton pantalon trouée et tes vieilles baskets." Sur le coup c'est sur que c'est blessant, mais si ce style te plais, demande toi si tu as choisi la bonne solution, c'est à dire, rester avec une personne avec laquelle tu ne peux pas être toi même. Il est peux être temps de changer, c'est encore possible. Tous est possible, il faut juste se dire que ce n'est pas compliqué. Il faut croire en sois. 

    Etre jaloux ?

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  • Beaucoup de personnes disent qu'elles sont amoureuses, qu'elles ont trouvé leur prince charmant ou dans le cas des mec leur dulcinée, celui ou celle avec qui ils/elles veulent faire leur vie. Mais au final, aimer, c'est quoi ?

    C'est quand tu penses constamment à une personne, que tu penses à ses yeux, son sourire, sa façon d'être. Que tu te remémore tout ce qu'il s'est passé entre vous, que tu n'arrives pas à faire partir cette personne de tes pensées, qu'elle t'empêche de dormir et te donne le sourire quand tu reçois un texto d'elle. A chaque fois que tu entends son prénom tu retourne voir de qui on parle. Tu ne cesse de le regarder, la jalousie s'installe en toi quand quelqu'un de l'autre sexe s'en approche. Si tu as pensé à quelqu'un en lisant ce texte, je suis désolée pour toi mais tu es atteint de cette maladie, cette maladie qui n'est autre que l'Amour. Celle qui pourrait te faire tout lâcher pour une seule personne, pour qui tu donnerais ta vie. Pour qui tu serais prêt(e) à faire n'importe quoi pour ne pas le perdre. Mais attention à ne pas être non plus trop aveuglé par l'amour. Car oui ! L'amour rend aveugle pour quiconque s'y colle. Attention à faire la part des choses entre le vrai amour et celui qui profite de toi.

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  •          La vie. C'est toi qui l'écris. Des fois on veut t'aider et on croit bien faire du coup on ne peux plus revenir en arrière.

             Ta vie tu l'écris au crayon de papier. Histoire de pour modifier par la suite tes actes. Mais tu oublies que le crayon laisse toujours une petite trace. Même si tu n'appuie pas fort. Des fois tu es tellement sur que ce moment est parfait que tu l'écris au stylos bille. Mais tu oublies que quand tu utilise le t-pex, les mots, les actions n'ont pas disparu. Elles sont juste recouverte par de nouvelle parole. Essayer de ce rattraper ne suffit pas toujours.

    Et si on écrivait...?

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  • Chaque bonne chose a une fin. La fin arrive souvent bien plus tôt que l'on ne croie.

    Ça commence par un simple regard, un échange de sourires. Les premières paroles. La première bise. Un rapprochement. Le premier baiser passionné. La découverte du corps de l'autre , autrement dit; "Le fruit défendue". Le premier appart, les premières engueulades & jalousie. Les premières menaces. La premières séparation suivie de la première dépression amoureuse. Ces peines de cœur... Sa perte de confiance en sois. La tristesse par rapport a son ex qui lui / elle est heureu(x)se dans les bras d'un(e) autre.

     

    L'amour.

     

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  •        Assise par terre, regardant par la fenêtre le ciel bleu nuit, laissant, de temps en temps, à travers les nuages, apparaître quelques étoile, toute plus brillante les unes que les autres. J'étais seule, toute seule. Ma mère travaillais pour gagner un salaire qui nous permettait à peine de survivre. Quand à mon père, je ne l'avais plus vu depuis mes 4 ans. Mon chien dormait dans son panier au rez de chaussée. A l'école tout le monde me détestais. Il m'insultais sans aucune raison, comme si ils voulaient tous se défouler sur moi. J'avais de mauvaise note, en même temps je ne travaillais pas, à quoi bon. On me frappais souvent et on me volais mon argent pour la cantine. Au début, je ne me laissais pas faire. Mais, au bout d'un moment, j'abandonnai. En primaire, j'avais une amie qui ne me laissais jamais tomber et me soutenais. Malheureusement, elle est morte dans un accident de voiture. Comme quoi, ça arrive à tout le monde et à n'importe quel âge. Non je n'avais pas de chance, vraiment pas. Mon compas était poser à côté de moi. Me mutiler ? Oui ça m'arrivais de temps en temps. Mais j'en avais tellement honte ! Se dire que bientôt ce sera finis, tout ça ne sera qu'un mauvais souvenir qui s'envolera en même temps que mon âme.

           Ma mère bien sûr, ne sait rien de tout cela. Elle ne s'en doute pas une seconde. Enfin... je n'en sais rien. Parfois on organisait des sorties. Au restaurent, dans des parcs, dans des endroits pas trop cher.  On s'amusait bien, je l'avoue, mais ce n'est plus pareille maintenant. Encore quelques mois, semaine, jours ? Je ne sais pas. Encore quelques heures, minutes, secondes ? Je n'en sais rien. Mon âme se décompose peu à peu. Je ne comprends plus rien. Je n'ai plus envie de comprendre. Je veux juste m'en aller. Tout laisser derrière moi. Loin de moi. Que cela ne soit plus un problème sans solution, un malheur qui n'en finit plus.

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  •  

          Hiver 2009, la neige recouvrait tout. A travers les fenêtres on pouvait distinguer les cheminées allumées avec les familles réunies, chantant autour du sapin. Oui, Noël était le sujet de toutes les discussions.  Je me trouvais dehors, assise sur les marches gelées du pont, une toute petite couverture trouée sur les épaules et mon  bonnet sur la tête.

          Les voitures passaient et m'éblouissaient avec leurs phares blancs, jaunes. J'avais de plus en plus froid mais je devais lutter. Lutter pour ma petite sœur. Je travaillais déjà à seulement 14ans pour lui payer l'école, les livres, les affaires, les habits, la cantine.

          Ma petite sœur, je l'aimais plus que tout. Il fallait donc que je l'aide. Suite à notre fuite du pensionnat où tous nous détestaient, nous nous étions réfugiée  dans une caravane en piteux état. C'était déjà bien. Je lui répétais d'accepter l'aide qu'on lui proposer. Ça maîtresse tentait de l'aider à s'intégrer. 

          Parfois, Marine, ma petite sœur me demandait si c'était possible d'inviter des amis à la maison.  Elle ne comprenait pas pourquoi je lui disais non. Elle repartait en boudant dans son lit. Il était à présent vingt-trois heures, Marine dormait. J'attendais patiemment que quelqu'un sorte de sa maison pour lui demander un peu de nourriture. Tel un glaçon , je n'arrivais presque plus à bouger.  Je m'efforçais de garder les yeux ouvert. Soudain, une personne sortit de la maison n-13. Il devait avoir la trentaine et mesurait environ 1m70. Il vint vers moi. Apparemment, il me regardait déjà depuis un moment et avait vu que je ne bougeais plus. Je n’eus pas le temps d'ouvrir ma bouche pour lui demander un bout de pain qu'il me portait et m'emmena à l'intérieur. Il me déposa sur le canapé. Une cheminée dégageait une douce chaleur, réchauffant toute la maison. Il m'apporta un chocolat chaud avec trois  délicieux croissants ainsi qu'une couverte bleu clair. Une fois réchauffée, il me demanda ce que je faisais dehors un soir de Noël. je lui retournai la question. Sans famille dans le nord, il était malgré tout venu s'installer ici pour ses études. Depuis il enchaînait les défaites amoureuse. Et n'avait donc pas d'enfants. Mais il me reposa de nouveau la même question.. Je ne lui répondit pas, de peur qu'ils nous ramènent au pensionnat. Je terminai mon chocolat chaud, le remerciai et mais m'excusai de devoir partir si subitement. Il me demanda ou j'allais,  et fis mine de ne l'avoir entendu... 

    Mais j'aurais tant aimé qu'il nous héberge. 

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  •  

          <<Ça y est, j’ai l’âge pour aller travailler, pas trop petit ni trop grand. D'ailleurs, on n’est jamais trop grand pour aller travailler et gagner  de l’argent pour aider sa famille. La mienne n’a plus beaucoup d’argent pour se nourrir, mais en plus de ça, mon père est malade, il a un cancer, depuis de long mois maintenant, il est alité et ne bouge plus du tout sauf pour manger bien qu'à présent, même cela lui est presque impossible, il est comme paralysé.

          Ma mère est débordée par toutes ces heures de travail acharnées et ces tâches ménagères qui n’en finissent plus, c’est pour cela que mes parents m’ont inscrit à l’adoption. Comme mon père, je travaille dans les mines commencées par d’autres camarades qui eux n'ont pas l'air de bien se porter. En effet cela peut se comprendre; toute la journée dans la poussière, durant plus de 43 heures par semaine pour au final ne gagner  seulement quelques pièces.

          Aujourd’hui je me suis fait un ami qui travaille dans le même coin de la mine que moi, il me donne plein  de techniques. Lui comme moi nous aimons manger, comme à peu près tous les enfants mais vu que nous sommes tous les deux pauvres.. maigres et tout ce qu’il va avec, il me montra un endroit, c’était un endroit où les chefs cachaient toutes leurs provisions, manger, boire. On aurait dit le paradis !

          Un jour quand nous sommes arrivés à la mine, nous y avons vu de nombreux sacs poubelle posés dans de grandes caisses. Mon ami Samuel, qui avait l’habitude de parler aux chefs lui demanda ce qu'ils contenaient… c’était des enfants morts dans un effondrement.

          Dans quelques jours, ce sera mon anniversaire et j’ai enfin été choisie par une famille. J’allais être adoptée et goûter aux joies d’une famille normale :, les cours, les repas en famille tous les jours…>>

          Ironie du sort, quelques jours avant son anniversaire... il mourut. Il mourut avant son père qui, quand il apprit la nouvelle, se laissa mourir à son tour pour le rejoindre, laissant sa femme seule et inconsolable.

     

     

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